ID
14949
Auteurs
Caroline Essert
Introduction
De l’acquisition au simulateur de chirurgie, l’image médicale subit de nombreux traitements informatiques. L’intérêt : disposer d’une « copie virtuelle » du patient, qui pourra être utilisée du diagnostic jusqu’à la chirurgie assistée par ordinateur.
Domaines applicatifs

Le patient virtuel au service de la chirurgie

Contenu

Les images de synthèse envahissent nos écrans. Les personnages virtuels se glissent dans nos téléviseurs, nos cinémas, et bien sûr dans les consoles de jeux. Mais ces enveloppes corporelles calculées par ordinateur ont aussi trouvé dans le domaine de la médecine et de la chirurgie un nouvel espace d’évolution. Et ce ne sont plus des personnages inventés de toutes pièces que l’on trouve en salle d’opération, mais bel et bien une copie virtuelle du patient.

La médecine et la chirurgie ont tout à gagner à mettre à profit ces nouvelles technologies, qui offrent de multiples avantages, à différents stades du parcours médical du patient. Les images numériques peuvent tout d’abord aider au diagnostic. Elles peuvent également aider le praticien à préparer, à planifier un geste chirurgical difficile, à essayer différents scénarios avant l’intervention. Elles peuvent entrer jusqu’à la salle d’opération pour guider le chirurgien pendant son geste. Enfin, elles peuvent permettre à des praticiens novices de s’exercer avant de pratiquer pour la première fois des interventions.

De l'acquisition à la visualisation des images

Le cycle de l’image médicale commence au moment de l’acquisition. Différentes technologies et différents matériels existent depuis plusieurs années, comme le scanner (tomographie par rayons X), l’IRM (résonance magnétique nucléaire), ou l’échographie (ultrasons). Ces techniques produisent le plus souvent comme résultat une série d’images en 2 dimensions, les coupes qui, mises les unes derrière les autres, reconstituent le volume du patient.

[caption id="" align="aligncenter" width="640"] Le cycle de l'image (© LSIIT/données IRCAD)
Le patient virtuel est reconstitué grâce à des calculs et traitements effectués sur les images sources, comme le scanner ou l’IRM que passe le patient réel.[/caption]
Contenu

Les images de synthèse envahissent nos écrans. Les personnages virtuels se glissent dans nos téléviseurs, nos cinémas, et bien sûr dans les consoles de jeux. Mais ces enveloppes corporelles calculées par ordinateur ont aussi trouvé dans le domaine de la médecine et de la chirurgie un nouvel espace d’évolution. Et ce ne sont plus des personnages inventés de toutes pièces que l’on trouve en salle d’opération, mais bel et bien une copie virtuelle du patient.

La médecine et la chirurgie ont tout à gagner à mettre à profit ces nouvelles technologies, qui offrent de multiples avantages, à différents stades du parcours médical du patient. Les images numériques peuvent tout d’abord aider au diagnostic. Elles peuvent également aider le praticien à préparer, à planifier un geste chirurgical difficile, à essayer différents scénarios avant l’intervention. Elles peuvent entrer jusqu’à la salle d’opération pour guider le chirurgien pendant son geste. Enfin, elles peuvent permettre à des praticiens novices de s’exercer avant de pratiquer pour la première fois des interventions.

De l'acquisition à la visualisation des images

Le cycle de l’image médicale commence au moment de l’acquisition. Différentes technologies et différents matériels existent depuis plusieurs années, comme le scanner (tomographie par rayons X), l’IRM (résonance magnétique nucléaire), ou l’échographie (ultrasons). Ces techniques produisent le plus souvent comme résultat une série d’images en 2 dimensions, les coupes qui, mises les unes derrière les autres, reconstituent le volume du patient.

[caption id="" align="aligncenter" width="640"] Le cycle de l'image (© LSIIT/données IRCAD)
Le patient virtuel est reconstitué grâce à des calculs et traitements effectués sur les images sources, comme le scanner ou l’IRM que passe le patient réel.[/caption]
ID
14949
Auteurs
Caroline Essert
Introduction
De l’acquisition au simulateur de chirurgie, l’image médicale subit de nombreux traitements informatiques. L’intérêt : disposer d’une « copie virtuelle » du patient, qui pourra être utilisée du diagnostic jusqu’à la chirurgie assistée par ordinateur.
Contenu

Les images de synthèse envahissent nos écrans. Les personnages virtuels se glissent dans nos téléviseurs, nos cinémas, et bien sûr dans les consoles de jeux. Mais ces enveloppes corporelles calculées par ordinateur ont aussi trouvé dans le domaine de la médecine et de la chirurgie un nouvel espace d’évolution. Et ce ne sont plus des personnages inventés de toutes pièces que l’on trouve en salle d’opération, mais bel et bien une copie virtuelle du patient.

La médecine et la chirurgie ont tout à gagner à mettre à profit ces nouvelles technologies, qui offrent de multiples avantages, à différents stades du parcours médical du patient. Les images numériques peuvent tout d’abord aider au diagnostic. Elles peuvent également aider le praticien à préparer, à planifier un geste chirurgical difficile, à essayer différents scénarios avant l’intervention. Elles peuvent entrer jusqu’à la salle d’opération pour guider le chirurgien pendant son geste. Enfin, elles peuvent permettre à des praticiens novices de s’exercer avant de pratiquer pour la première fois des interventions.

De l'acquisition à la visualisation des images

Le cycle de l’image médicale commence au moment de l’acquisition. Différentes technologies et différents matériels existent depuis plusieurs années, comme le scanner (tomographie par rayons X), l’IRM (résonance magnétique nucléaire), ou l’échographie (ultrasons). Ces techniques produisent le plus souvent comme résultat une série d’images en 2 dimensions, les coupes qui, mises les unes derrière les autres, reconstituent le volume du patient.

[caption id="" align="aligncenter" width="640"] Le cycle de l'image (© LSIIT/données IRCAD)
Le patient virtuel est reconstitué grâce à des calculs et traitements effectués sur les images sources, comme le scanner ou l’IRM que passe le patient réel.[/caption]
Domaines applicatifs