Philippe Henry

Diplômé de l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne), Philippe Henry est titulaire d’une maîtrise en administration économique et sociale. Depuis plus de 30 ans, sa carrière se déroule dans le domaine de la recherche scientifique publique au sein de différents EPST et du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

Philippe Henry débute en 1990 au sein de la DRH de l’ORSTOM (désormais IRD), en tant que responsable du suivi de la masse salariale de l’établissement et de la réalisation des premiers bilans sociaux. Il effectue une première mobilité vers le ministère en charge de la recherche en 1993, où il gère tout d’abord les « dépenses ordinaires » du budget civil de recherche et développement, avant d’assurer le suivi de la globalité des budgets de plusieurs EPST.

Au début des années 2000, il rejoint l’INRA en tant qu’adjoint au directeur du financement et de l’administration générale, puis devient le directeur de l’unité support ANR, en charge de la gestion de plusieurs programmes nationaux de l’Agence dans les domaines de l’alimentation et du développement durable.

C’est en 2008 que Philippe Henry rejoint Inria, à la création du centre de recherche Inria de Saclay Île-de-France, où il occupera jusqu’en 2013 la fonction de délégué à l’administration du centre, fonction qu’il a exercée également par la suite au centre de Sophia Antipolis – Méditerranée. En 2020, il devient le secrétaire général du centre de Rennes Bretagne-Atlantique.

Depuis avril 2022, Philippe Henry est le directeur d’une nouvelle structure rattachée au directeur général délégué à l’administration d’Inria : la direction de l’organisation et de la transformation dont l’action s’inscrit pleinement dans l’axe majeur du Contrat d’objectifs et de performance 2019-2023 d’Inria intitulé construire une organisation sereine et efficace. À ce titre, cette direction intègre le service de transformation numérique et pilote différents projets ayant pour but d’améliorer l’efficience des outils de gestion de l’institut, de simplifier et numériser ses processus, de décloisonner l’action des différents acteurs de l’appui à la recherche et plus généralement de mettre en place en place un cadre propice à l’innovation collaborative.